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Châssis - Motorisation - Transmission - Carrosserie - Intérieur - Fiche technique |
Carrosserie |
La carrosserie de la 2000GT est fabriquée en tôle d'acier soudées. Elle forme une structure semi autoporteuse qui est vissée sur le châssis poutre. Le tout possède une excellente rigidité, autant longitudinale qu'en torsion. |
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Quelques détails font penser à d'autres automobile. La nervure longitudinale du toit est une caractéristique du carrossier Zagato. |
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Les pare-chocs se résument à des butoirs, ils sont plutôt symboliques et ne protège pas vraiment la carrosserie des chocs. |
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Jiro Kawano voulait une proue fine, basse et aérodynamique. Le problème est que pour vendre la voiture aux Etats-Unis, il faut satisfaire une loi californienne qui limite la hauteur minimum des phares avant à 60 cm du sol. Seule solution, des phares escamotables en plus des gros phares derrières les plexis qui deviennent des antibrouillards. Ceux-ci ont peut-être été inspiré par ce prototype de Zagato. |
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Les phares escamotables ont une découpe assez originale et très 60's, ils ressemblent beaucoup à ceux de la Ferrari Superfast II carrossée par Pininfarina en 1960. |
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Pour l'ouverture, plusieurs solutions ont été envisagées. On a pensé à les faire pivoter sur un axe longitudinal, à la façon de l'Opel GT, mais une ouverture classique a finalement été retenue. Contrairement à la Lotus Elan qui utilise un système à dépression, les phares de la 2000GT sont mus par deux moteurs électriques. |
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Le capot moteur est de petite dimension mais suffisant pour accéder aux parties principales du moteur et de procéder à son entretien. |
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Ces petits panneaux en fibre de verre sont facilement amovibles par un loquet à ressort. Ils abritent, à gauche, le filtre à air, la commande hydraulique d'embrayage et le maître cylindre de frein, et à droite, la batterie, le servofrein et le réservoir de lave-glace. |
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Les splendides rétroviseurs "obus" sur les ailes sont très 60's. Ils sont directement inspirés des fameux Talbot-Berlin allemand. Ceux de la 2000GT ont la particularité d'être chromés sur le côté extérieur et peints en gris foncé sur la face intérieure. Ceci pour éviter qu'un reflet du soleil ne perturbe le conducteur. |
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Les essuie-glaces sont conventionnels. Les bras et balais sont métalliques. Il est possible de remplacer la lame de caoutchouc maintenue par les griffes. Le style de bras à deux tubes parallèles est similaire à celui trouvé sur les futures Celica, mais le diamètre de l’axe de l'axe cannelé du pivot de rotation n’est pas le même. |
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Même le bouchon du réservoir d'essence est très design. Il s'ouvre avec la clef de contact et libère un orifice de remplissage gigantesque tombant directement dans le réservoir de 60 litres. |
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La poignée de porte est finement dessinée, également avec le souci de l'aérodynamique en tête. Son style sera repris sur la Celica en 1971. |
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L'une des choses qui me plait particulièrement est la discrétion (peut-on dire modestie ?) des insignes de la marque Toyota. Contrairement à toutes les autres GT, il n'y a pas la moindre trace d'un badge sur le nez de la voiture. Seulement une plaque rectangulaire sur l'arrière et les deux jolis triangles sur les ailes. Bravo ! |
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Enfin la trousse à outils complète et le cric, sont composés de 18 éléments. Le maillet sert à démonter les roues. Il est à noter que
le cric standard en losange est muni d'une clef à cliquet. Le changement d'une roue s'effectue sans effort et en un minimum de temps.
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